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C’est toujours au moment où tout fait pchiiit que surgit le waouw. En effet, le outch est au service de tadââm. Genet a fait beaucoup de blabla sur la question. "Il n’est pas de grands artistes sans qu’un grand malheur s’en soit mêlé". HmmmHmmm… Démonstration.

 

Un jour, Vlan. On se mange "la" tarte de notre vie. Quelque chose fait plouf, il y a eu Crac quelque part. Evidemment, on snifsnif beaucoup, on est à deux doigts de vouloir se faire Bang dans la cervelle. Les cui-cui, les smouak-smouak, les haha sont bien loin. On est grrr, et on voit tout en argh.

 

Et puis, un autre jour, Boum. On se prend un Paf sur la tête qui nous fait l’effet d’un schalf ! Pourquoi rester Scregneugneu quand on peut faire boiiing et rebondir ? C’est à ce moment que le cœur se dit  ! et que le moral fait tuut. Glang ! Ding Dong ! C’est le moment, tic-tac. Il faut créer. Fini le oups, fini le beurk. C'est un monde de Waouw qui s'ouvre, loin du Ouin Ouin.


Alors le jour d'après tadâââm. Enfin sorti du Zzzz, on n'a plus peur de ressentir du Bouh ! L'avenir qui se presente et un avenir Slurp, à s'en lécher de doigts. Quand vient l'heure du tadâââm, les clap clap clap inondent la salle. Le grand malheur a fait chut  au manque de créativité. C'est le cœur tout lalala que l'on peut se présenter comme artiste. Badaboum.

Audrey Sandou
Chronique / Citation
12.05.2014

Du patatras

au hipipiphourra !

" L'art ne transforme pas. Il formule." Roy Lichtenstein

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